Après avoir appris à jouer de la basse et
de la contrebasse en autodidacte, il devient
l’un des co-fondateurs du cirque GOSH.
Il y développe ses talents de personnage
sous la direction de Michel Dallaire.

Pluridiscipliné, il joue aussi sur divers projets mêlant un éventail d’artistes d’univers variés. (Cirque Gosh, Cirque Aïtal, Gosh Brothers, Blues Project, Les Balenkos)

Mises en scène: Tout Samba’l (remue ménager), Smart Cie (Smart Manouche, Enfin prêts et Balla Balla).












Sur un monocycle, il se passionne pour des disciplines sportives (hockey, basket, monocycle tout terrain), et artistiques (freestyle, arts de la piste)

Fondateur de Roue Libre, une association dédiée aux pratiques ludiques, sportives et artistiques du monocycle, il organise « Y’a du jeu dans ta roue », rencontre nationale annuelle de monocyclistes.

Ailleurs, il joue et fabrique avec Tout Samba’l (Remue Ménager, Balades sous abat-jour, Bar Baladeur, Exilod) -théâtre de rue-

Différents stages viennent renforcer son jeu.
Philippe Maurice (Cie Ubac), Annie Rhode (Tout Samba’l), Noëlle D’Alsace (Cie d’un Jour), Emmanuel Sembély et Michel Dallaire (Hangar des mines).







Tout démarre par une histoire de squattage de grenier…

De là, naît la rencontre entre un musicien et un monocycliste, puis très vite le 1er Groupe de Recherche Expérimentale sur la Cohabitation entre Engin à Roue et Instrument à Corde (GRECERIC).

« Oui, c’est envisageable ! » est la devise de cette étude menée à base d’imagination, de travail à la maison, d’entraînements, de persévérance et d’improvisations sur le terrain.

Depuis 2006, de scène en scène, les personnages progressent et s’affirment, l’univers burlesque s’enrichit, l’histoire évolue…
Monobass Cie crée « Giant Trottinette Orchestra », un spectacle évolutif, pour raccorder une contrebasse avec un monocycle.





Vivants et en danger, ils racontent les humeurs et la fragilité de l’humain.

Ces personnages travaillent pour atteindre une sincérité de jeu loin du « tout parfait ».

Désapprendre ensemble les vieilles ritournelles d’une société codée, pour mieux s’interroger sur l’apparence, sur le droit à la différence. Ils en jouent.

Rire des rapports de pouvoir qui nous dispersent…

Rappeler les liens d’amitié inébranlables…

Certifier que l’entre aide, bien que maladroite, est aussi, indispensable, salvatrice.

Dire que la réussite, n’existe pas sans l’autre.

Montrer que c’est dans l’adversité que se révèlent les vrais amis.

Rire simplement et que l'amusement ne tombe pas dans les oubliettes de nos mémoires trop occupées, de notre pensée bien encadrée.


Chacun son instrument, chacun son appui...

• Le monocycle amène le mouvement, le défi, la performance, une esthétique différente.
  Une recherche d’équilibre dans un déséquilibre permanent.
  
• La contrebasse, imposante, la « grand-mère » des instruments à cordes, donne le rythme, la musicalité, l’harmonie.